Quand un storyworld applique une idée simple pour tout interpréter (ou logique conceptuelle), il finit par réduire cette logique à l’analyse binaire bien/mal ou « logique conflictuelle ».
Celle-ci à son tour finit par dresser des répertoires figés du bien et du mal, lesquels désigne des amis et des ennemis, et liste des concepts et des termes qui sont vidés de leur sens pour être utilisés comme des signaux pour engendrer l’indignation, la haine ou l’enthousiasme.
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